Le vélo de fonction est en train de devenir un avantage salarié majeur : écologique, économique, bon pour la santé et souvent plus rapide que la voiture sur les trajets urbains.
Mais pour beaucoup d’entreprises, une question demeure : comment mettre en place un dispositif vélo de fonction, et surtout comment le financer ?
Ce guide vous explique, étape par étape, comment déployer le vélo en entreprise et quelles sont les options économiques les plus pertinentes.
1. Le vélo de fonction : un avantage qui séduit salariés et entreprises 🚲
Avant d’entrer dans le concret, rappelons pourquoi les entreprises comme les salariés, s’intéressent au déploiement du vélo de fonction :
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il améliore la qualité de vie au travail (QVT),
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il permet de réduire l’empreinte carbone liée aux déplacements,
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il optimise le temps de déplacement,
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il diminue le stress lié aux transports,
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pour l’entreprise, il est vecteur de meilleure attractivité et et de fidélisation des talents de l’équipe.
Mais rien n’est possible sans une organisation claire et un financement adapté.
2. Comment mettre en place un programme de vélos de fonction ? 🧩
A. Définir les objectifs de l’entreprise
Selon la stratégie mobilité, QVT et RSE, l’entreprise peut choisir de développer le vélo de fonction pour :
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réduire l’usage de la voiture individuelle,
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proposer un avantage salarié attractif,
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faciliter des déplacements professionnels,
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promouvoir la mobilité active et la santé.
Ces objectifs orienteront :
👉 le type de vélos,
👉 le nombre de salariés concernés,
👉 et le budget.
B. Identifier les besoins des salariés
Chaque profil n’a pas les mêmes usages :
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collaborateurs urbains → VAE, vélos pliants
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techniciens itinérants → vélos cargo
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équipes commerciales → VAE polyvalents
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salariés sans local vélo, ou qui se déplacent en intermodalité (train, métro etc) → modèle compact ou pliant
Un rapide questionnaire ou une enquête RH interne permettent d’aligner l’offre aux besoins.
C. Prévoir la gestion opérationnelle : assurance, assistance, maintenance
Pour un dispositif robuste et réellement utile, il est essentiel de prévoir :
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l’assurance (vol, casse, dégradations),
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l’assistance du cycliste,
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la maintenance régulière du vélo,
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une procédure simple en cas de sinistre.
👉 C’est précisément là que Morio simplifie la vie des entreprises : assurance, assistance et gestion centralisée des dossiers de sinistres.
3. Les mécaniques de financement possibles 💶
C’est la question clé pour la plupart des entreprises : pourquoi le vélo de fonction est financièrement intéressant et comment optimiser le budget ?
A. La location longue durée (LLD) ou le leasing avec option d’achat (LOA)
C’est le modèle le plus répandu aujourd’hui.
L’entreprise loue les vélos sur 24 à 48 mois, avec un panel de services inclus :
➡️ l’assurance
➡️ l’assistance
➡️ la maintenance
➡️ la gestion de la flotte et des sinistres.
✔️ Avantages
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pas d’investissement initial
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des coûts prévisibles et mensualisés
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des vélos renouvelés régulièrement
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une gestion simplifiée
En LOA (système proche de la voiture de fonction) l’entreprise loue, avec une possibilité de rachat des vélos en fin de contrat par l’entreprise ou le salarié.
B. Pour un financement optimal : la règle des 70-30
La règle des 70-30 qu’est-ce que c’est ?
👉 L’entreprise paie 70% de la redevance de la location du vélo, dans le cadre de son utilisation à titre professionnel (trajets en semaine, déplacements, trajet domicile-travail…)
👉 Le collaborateur paie 30% de la redevance, dans le cadre de son utilisation privée (week-end, vacances…)
Comment l’appliquer ?
C’est très simple. Administrativement, une entreprise le fait déjà avec les tickets restos, ou la mutuelle : l’entreprise prélève les 30% de la location directement sur la fiche de paie du collaborateur.
Des avantages pour tous :
✔️ Une réduction de l’impôt des sociétés à hauteur de 25% de son investissement
✔️ L’entreprise récupère la TVA des vélos (qui devient déductible)
✔️ Le collaborateur n’est pas imposé dessus, car ce n’est pas un avantage en nature.
Un exemple concret :
Pour un vélo de 2000€ TTC, avec un loyer de 90€ au total (vélo + services), pour 36 mois.
👉29.25€ sont à la charge de l’entreprise,
👉27€ sont à la charge du collaborateur,
👉33.75€ sont à la charge de l’Etat.
Et dans le cas où le Forfait Mobilités Durables est mis en place par l’entreprise, le salarié peut toujours l’utiliser pour la prise en charge du leasing.
4. Comment Morio facilite la mise en place de votre flotte vélo 🛠️
Mettre en place une flotte de vélos de fonction suppose coordination, assurance et continuité de services.
Avec Morio, les entreprises bénéficient de :
🔵 Une assurance dédiée aux vélos de fonction et à leurs utilisateurs
Vol, casse, dégradations, vandalisme : tout est couvert par l’assurance., pour le vélo et ses accessoires.
🟢 Une assistance rapide et adaptée aux cyclistes
Remorquage, rapatriement, accompagnement des salariés en difficulté : un service d’assistance basé en France et disponible par téléphone pour rassurer et apporter rapidement des solutions.
🟣 Une gestion de sinistre centralisée et simplifiée
Moins de paperasse pour l’entreprise, plus de vélos en mouvement.
🟠 Un accompagnement sur la stratégie mobilité et à la prévention des sinistres
Choix des bons modèles, organisation, communication interne. On vous fournit les contenus et supports adaptés.
En bref : vous vous occupez de la mobilité, Morio s’occupe de la sérénité.
🎯 En conclusion : un dispositif simple si l’on s’équipe des bons outils
Proposer des vélos de fonction est plus simple qu’il n’y paraît.
Les clés du succès :
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une analyse des besoins,
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un modèle de flotte adapté,
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une mécanique de financement cohérente,
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des services fiables pour garantir la continuité.
Avec les bons partenaires, le vélo de fonction devient un avantage salarié puissant, durable et attractif.
