Les sinistres de vélos peuvent se présenter sous différentes formes : casse, vol et vandalisme. Comprendre ces termes est primordial pour savoir comment se prémunir efficacement, comment réagir en cas de problème, et quels sont les impacts sur le dossier de déclaration de sinistre.
1. La casse
La casse correspond aux dommages subis par le vélo lors d’un accident, d’une chute ou de tout autre incident qui altère son état et sa fonctionnalité. Cela peut inclure des éléments tels que le cadre fissuré, les roues voilées, une fourche endommagée ou encore des équipements qui ne fonctionnent plus correctement (comme le dérailleur, la transmission).
- Exemples de casse : un cycliste qui percute un obstacle et endommage la roue avant, ou une chute sur un sol irrégulier qui provoque une fissure du cadre.
La casse peut dans certains cas impliquer une tierce personne, lors d’un accident avec un autre véhicule principalement.
2. Le vol
Le vol fait référence à la disparition d’un vélo en raison d’une action malveillante. Il peut être total (le vélo entier est volé) ou partiel (certains composants tels que la selle, les roues ou la batterie d’un vélo électrique sont volés). Lorsqu’il est partiel, on parle de vandalisme.
- Exemples de vol : un vélo attaché à un point fixe qui est tout de même emporté par des voleurs, ou des accessoires (comme la batterie d’un VAE) dérobés lorsque le vélo est stationné.
Le vol implique de fait une tierce personne, et nécessite obligatoirement un dépôt de plainte.
3. Le vandalisme
Le vandalisme correspond aux dégradations volontaires causées par des tiers sur un vélo, ou d’un vol partiel d’accessoires ou de pièces sur le vélo.
- Exemples de vandalisme : un vélo renversé et laissé avec des dégâts, ou des composants tels que la sonnette ou les phares arrachés.
Le vandalisme implique de fait une tierce personne, et nécessite obligatoirement un dépôt de plainte.